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Zone protégée Bahuaja

La zone de conservation de Bahuaja est un territoire de 132 hectares situé sur la rivière Tambopata, département de Madre de Dios en Amazonie péruvienne, dédié principalement à la conservation de l'écosystème amazonien et aux projets associés.

Nous y réalisons des régimes, des retraites et des ateliers.

Nos installations ont été construites à 90% avec du bois de récupération (arbres tombés naturellement). Cela représentait un coût supplémentaire important, mais nous savons maintenant que cela en valait la peine.

 

Nous disposons de 2 puits d'où nous extrayons de l'eau pure grâce à des pompes solaires.

Toute l’énergie électrique du lieu est photovoltaïque et notre objectif est de remplacer dans un avenir proche le moteur hors-bord à essence – qui nous transporte dans la région – par un moteur hors-bord électrique, coupant ainsi toute dépendance au pétrole et réduisant notre empreinte carbone à ZÉRO.

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Pour que notre nourriture soit aussi zéro kilomètre, nous comptons sur de petites cultures de diverses variétés de banane plantain, yucca et autres tubercules. Nous avons aussi des avocats du cacao, des ananas, du café, des papayes, de la coco, des citrons, de la canne à sucre, de la goyave, du camu camu, de la mangue, du carambolier, de l’arasa, du nono, du moringa, des anones et autres fruits exotiques, tous biologiques.

Nous avons aussi semé une quantité importante d’ayahuasca, de tabac et de coca parmi d’autres plantes médicinales.

Il est bon de voir de ses propres yeux ce qui se passe dans cet endroit de la planète petit et reculé, mais aussi très important.

AUTRES PROJETS de la zone protégée

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« Projet Bambou ». Le projet bambou cherche à inciter à la plantation et à l’utilisation du bambou avec pour finalité de réduire la pression de l’abattage sur les forêts primaires. Notre intention est de fournir des plants de bambou pour impulser des projets de plantation dans plus de 40 000 hectares ravagés et contaminés par l’industrie minière.

Le bambou est une plante magique. Sa facilité d’adaptation à différents milieux, sa croissance rapide et ses nombreux usages font de lui l’une des plantes les plus incroyables et particulières de notre planète.

Ses deux avantages les plus importants sont :

  • Permettre à court terme (5 ans) l’usage d’un matériel noble et résistant capable de se substituer au bois dans l’industrie de la construction et de l’ameublement, diminuant ainsi la demande de bois et par conséquent évitant la destruction de la forêt amazonienne.

  • Être capable d’absorber 30% du CO2 de l’atmosphère de plus que n’importe quelle autre espèce du règne végétal, contribuant ainsi à diminuer les gaz à effet de serre qui provoquent le réchauffement de la planète.

Quelques usages du bambou : Alimentation humaine, structures architecturales, meubles, matériel de construction, instruments de musique, fibre textile, alimentation animale, paniers, tapis et autres tissus, câbles, manches de pinceaux, bâtons, cellulose, papier, médecines,…

Ce projet autonome permet de créer beaucoup d’emplois honorables, tant pour la culture que pour la transformation. La nature nous fournit une fois de plus une plante capable d’aider à solutionner nos graves erreurs.

Projet « module repotentialisé » : Projet expérimental qui tente de quantifier la valeur économique d’une zone de la forêt primaire dans laquelle ont été réintroduites quelques espèces d’une valeur commerciale majeure avec pour objectif de promouvoir la conservation entre les habitants locaux.

Projet « Plantes Médicinales » : Ce projet cherche à réunir et à cultiver dans une petite zone les principales plantes médecines qui font partie de l’écosystème amazonien.

La zone de conservation est un sanctuaire pour la vie minérale, végétale, animale et humaine. C’est un espace où les être humains peuvent vivre et évoluer en harmonie avec tous les règnes de la nature.

 

La zone de conservation Bahuaja ne reçoit pas de fonds ni d’aides de la part du gouvernement et/ou des institutions et se maintient seulement grâce aux activités de Ayahuasca Ayllu et aux généreuses donations.

Si tu le souhaites, tu peux nous aider à maintenir vivant ce merveilleux morceau d’Amazonie en faisant une donation.

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Eco Aldea Bahuaja

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Quoi ?

La Zone protégée BAHUAJA compte 132 hectares, dont 100 hectares intangibles (dédiés uniquement à la conservation de la forêt primaire) et 32 hectares d’usages multiples. Dans cet espace, nous travaillons à matérialiser le projet de création d’une communauté autonome en se basant sur la réduction des impacts négatifs sur l’environnement, réduisant ainsi au maximum l’empreinte écologique. Nous proposons un modèle de vie basé sur le soin des personnes et de l’environnement, où une relation de respect avec la terre et tout ce qui l’habite en est la base, permettant de régénérer le lieu où nous vivons en recherchant la meilleure manière d’utiliser les ressources naturelles, et de créer des formes de relations humaines responsables et respectueuse au quotidien.

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Où ?

Le projet communautaire se développera sur un terrain propriété de l’association « IGLESIA DE LA AMAZONIA » (IGLA) (ÉGLISE DE L’AMAZONIE), créée récemment avec cet objectif. Le terrain se trouve à l’intérieur de l’espace de la Zone protégée Bahuaja, située dans la jungle de Puerto Maldonado, dans la région de Madre de Dios au Pérou. La taille de la zone protégée est de 132 hectares dans lesquels 32 hectares sont destinées au projet communautaire. Le terrain dispose d’un accès fluvial depuis la ville de Puerto Maldonado. Depuis l’un de ses ports (à 50min de route de la ville de Puerto Maldonado), on prends un bateau qui remonte la rivière jusqu’au terrain en une heure et demi environ. Le Pérou est l’un des 12 pays avec le plus de biodiversité en termes de diversité génétique, d’espèces et d’écosystèmes. Il en occupe la quatrième place à niveau mondial (en abritant 70% de la biodiversité de la planète) et la neuvième sur l’aspect endémique. Ces chiffres sont principalement dus à l’Amazonie péruvienne à l’intérieur de laquelle se trouve la région Madre de Dios. Cette région forme une partie de la Réserve de la Biosphère du Manu, déclarée patrimoine mondial par l’UNESCO. Elle compte une riche diversité biologique, résultat d’un processus d’évolution millénaire. Elle se divise en trois provinces : Tambopata, Manu et TahuamanuI. Écologiquement, elle présente 13 zones de vie, toutes dominées en raison des variations de forêts humides et pluviales, et de zones de transitions entre elles. Il existe trois types de climats à Madre de Dios : « Sub-humide et chaud », « humide et chaud » et « très humide et semi-chaud ». En général, la région reçoit de grandes quantités de pluies, spécialement entre octobre et mars, et présente des température entre 18°C et 32°C; plus rarement, elles descendent à 13 °C ou montent à 36°C. Il y a une quantité acceptable de moustiques, qui avec le temps deviennent imperceptibles ou tolérables. Cet espace offre les meilleures conditions pour la production d’aliments et la construction d’habitations.

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Quand ?

Le premier objectif que nous avons est de construire le premier module communal. Sur un terrain de 1 hectare, construire quatre cabanes avec une cuisine/salle à manger communale au centre. Nous espérons qu’en cette année 2023 nous puissions construire une cabane ou peut-être la cuisine/salle à manger. Nous avons du bambou (Guada) pour réaliser les constructions et nous espérons recevoir le soutiens de quelques collaborateurs en technique et design. Notre intention est de laisser intactes cent hectares de façon permanente pour conserver la diversité biologique et culturelle de l’écosystème tropical amazonien. Dans les trente deux hectares restantes nous cherchons à créer un espace pour implanter des modèles de vie en permaculture/régénération (nous ne savons pas encore le nombre de personnes que pourrait accueillir le terrain). C’est aussi dans nos objectifs de changer le moteur hors-bord à gasoil (qui nous emmène sur la zone) pour un moteur hors-bord électrique, nous coupant de toute dépendance au pétrole et réduisant notre empreinte carbone à ZERO. Nous avons aussi un intérêt pour l’exploration des options du biogasoil. Pour que notre nourriture soit aussi zéro kilomètre, nous comptons sur de petites cultures mais nous avons un intérêt particulier à continuer de planter du bambou, du cacao et du citron à des fins commerciales.

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Pour quoi et dans quel but ?

Le projet d’Éco village cherche à réunir un groupe d’humains en recherche d’une vie dans laquelle nous pouvons respecter les lois de la Nature et de l’Évolution humaine. Nous croyons que nous sommes dans une période historique dans laquelle nous sont présentés deux chemins à suivre : Un qui nous fera de plus en plus dépendants de la technologie, des entreprises et des gouvernements, et un autre (sans ignorer les bonne choses que nous apporte la technologie) qui nous invite à cheminer main dans la main avec la nature, en respectant chaque forme de vie. La science et la technologie sont les nouveaux pouvoirs qui gouvernent le monde et elles sont impulsées principalement à des fins de profits et non pour être au service de l’humanité; il y a longtemps qu’elles ont arrêté de répondre aux réelles nécessités humaines. Elles nous trompent depuis des dizaines d’années sur l’objectif réel qu’elles poursuivent. Cela fait longtemps que nous avertissons que le chemin que prends l’humanité n’est pas exactement le chemin de l’évolution et de la conscience, mais celui du pouvoir de l’argent, exprimé au travers des moyens de communication, des réseaux sociaux et des formes de divertissements, il a réussi à créer une fausse réalité qui a conditionné l’esprit de centaines de millions de personnes. L’objectif principal du modèle technocratique est d’obtenir la soumission absolue de tous les individus pour ses intérêts et d’avoir le contrôle total à tous les niveaux, détruisant ainsi toutes les valeurs humaines qui ne s’alignent pas avec ses principes. Nous croyons que le choix de vivre, non seulement en respectant, sinon en aimant la nature, est une décision que personne ne peut nous enlever, que la liberté et le libre arbitre sont partie intégrante de l’essence qui nous fait véritablement humains, et que sans elle, l’être humain se dégraderait en se transformant en un automate, une machine sans droits à questionner ou contester. Il est évident qu’en ces temps se sont formés deux bords avec une vision diamétralement opposée : 1. Celui des entreprises, des magnats de la technologie, qui dominent les institutions, comme l’OMS, l’ONU et tous les moyens de communication qui sont chargé de propager la « version officielle » de ce qui se passe, et de rejeter, ridiculiser, interdir ou ignorer tous ceux qui sont en désaccord avec cette version officielle, en les diffamant avec des titres comme désinformateurs, négationnistes ou conspirationnistes. Ils ont une proposition « évolutive » basée sur la prédominance de la technocratie, de l’intelligence artificielle, de la vie virtuelle, de la médecine allopathique, de la robotisation et du « transhumanisme ». 2. De l’autre côté nous sommes ceux qui, avec des arguments et une information correcte, rejetons cette proposition qui est contre la Nature et l’être humain. Nous cherchons une vie avec un équilibre entre la technologie et la nature. Il est difficile de croire que des milliers de scientifiques et de médecins de tous les pays du monde sont devenus fous du jour au lendemain en essayant d’alerter le monde au sujet des plans sinistres qui menacent notre futur, des êtres humains qui ont mis en jeu leur réputation, leur prestige, leur travail et parfois jusqu’à leur liberté pour ne pas être complices de la catastrophe qui approche. Cependant, ils sont tous considérés comme des désinformateurs par les médias officiel et sont censurés sur les réseaux sociaux principaux. Il est très difficile de prévoir quel va être l’aboutissement de cet affrontement car pour ceux qui ont pour plan de soumettre l’humanité à l’esclavage, l’immense apathie, l’ingénuité et le manque de motivation de millions de personnes a qui ils ont déjà manipulé et lavé le cerveau depuis des décades jouent en leur faveur. Nous continuerons de lever la voix par tous les moyens possibles afin d’avertir au sujet de ces plans obscurs, mais nous croyons aussi que cela est une opportunité inestimable pour revenir à nos racines, à notre essence d’êtres humains, et de promouvoir un mode de vie réellement durable. C’est pour cela que nous créons ce projet de communauté, en cherchant à réunir les personnes qui résonnent avec la nécessité de vivre en harmonie avec la nature.

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Comment ?

Le développement du projet s’organise en trois étapes : 1.Annonce ; 2.Organisation et infrastructures ; 3.Création de modèles durables de génération de revenus. Aujourd’hui, le projet est à la première étape de son développement. Elle consiste à recevoir toutes les informations des demandes des personnes intéressées de manière à créer un premier groupe qui pourra établir les bases de la communauté. L’aboutissement de la seconde étape sera placé au niveau de l’organisation et des infrastructures. Le début de la troisième étape permettra l’expansion du projet, rendant possible de recevoir un nombre plus important de personnes le plus rapidement possible. *En termes d’infrastructures à Bahuja nous disposons actuellement de : Une maison de grande taille équipée avec : une cuisine - une salle à manger - une salle de bain complète - une salle communautaire à usages multiples. Un total de 13 cabanes qui ont été construites : 5 cabanes doubles avec salle de bain privées - 8 cabanes individuelles sans salle de bain. Il y a plusieurs toilettes sèches à proximité de la zone des cabanes et un accès aux sentiers de la jungle amazonienne, incluant 1,3km de rive (Rivière Tambopata). *Au sujet des infrastructures actuelles : 90% des matériaux proviennent de bois récupéré (arbres tombés naturellement) à l’intérieur de la zone et de bambous cultivés sur site. L’eau : Elle provient de deux puits profonds et est extraite grâce à des pompes solaires. Elle est ensuite filtrée pour sa consommation. Les eaux noires sont traitées par un biodigesteur et les eaux grises par des biofiltres. On utilise des produits de nettoyage écologiques. Les panneaux solaires fournissent l’éclairage et la charge des appareils électriques. Toute l’énergie électrique du lieu est photovoltaïque. Le terrain ne dispose d’aucun type d’élevage (seulement la faune autochtone protégée). Il y a des plantes médicinales ainsi que de petites cultures avec environ 24 espèces comestibles (toutes biologiques), qui sont complétées par des achats de produits (locaux de préférence) quand cela est nécessaire. Nous compostons nos déchets organiques et nous recyclons ou réutilisons les déchets inorganiques.

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Qui ?

La première phase du projet requiert un profil très spécifique de personnes, tant au niveau des habilités que de l’adaptation à l’environnement, de la construction d’infrastructures, de travaux agricoles et de maintenance. Les personnes avec des capacités en charpente, bio-construction et en construction avec le bambou ou les personne qui souhaitent s’investir dans le processus créatif et qui peuvent apporter un soutient économique en employant les services requis; les personnes avec de l’expérience en permaculture et en commercialisation de produits organiques. Nous envisageons aussi la possibilité de former un groupe de soutien aux personnes qui ne pourront peut-être pas s’intégrer au projet sur place dans l’immédiat, mais qui désirent soutenir le projet d’une autre manière et qui pourraient venir y vivre plus tard.

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Pour le moment, le projet Eco Village est en pause. Dans tous les cas, si vous souhaitez nous contacter et nous proposer votre aide pour ce projet ou d'autres projets similaires, veuillez utiliser le lien sur le côté ou nous écrire depuis le formulaire de contact, merci.

ESPAGNOL

ANGLAIS

Notre mail de référence pour ce projet est : ecoaldeaayllu@gmail.com

(Merci de nous contacter de préférence en Anglais ou en Espagnol)

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Église de l'Amazonie

L’Église se fonde sur l’idée qu’il existe un principe divin qui se manifeste comme existence, conscience et amour, et qu’il est de notre devoir de reconnaître, respecter et célébrer l’intelligence divine sous toutes ses manifestations matérielles, organiques, psychologiques, sociales, systémiques et cosmiques.

Notre objectif est donc de rétablir le culte sacré de la Mère Nature, en reconnaissant notre responsabilité et l’importance de chacune de nos interactions avec la nature et tous les êtres vivants, promouvoir l’évolution humaine en harmonie avec la nature, promouvoir et pratiquer toutes formes de vies et de pratiques qui soutiennent des formes éthiques et saines de développement.

Nous croyons qu’il est important de réévaluer et de diffuser les connaissances ancestrales des peuples autochtones et des savoirs qui aident les personnes à se sensibiliser et développer leur conscience, au même titre que la recherche et l’intégration de toutes les avances et découvertes scientifiques qui nous aident à mieux comprendre la nature et à vivre d’une forme plus consciente.

L’Église promeut et soutient tous les projets de Ayahuasca Ayllu et toutes les activités qui vont dans la direction d’une évolution consciente : projets de conservation, initiatives écologiques, projets communautaires, recherches, technologies durables, festivals, ateliers, projets audiovisuels,… entre autres.

L’Église est une association à but non lucratif qui nous permet d’être représentés légalement comme une institution.

École Wiñaypaq

Située dans le district de Pisaq, au sein de la communauté paysanne de Huandar, dans la Vallée Sacrée des Incas (Valle Sagrado de Los Incas) à Cusco; l’École Interculturelle Wiñaypaq fournit une éducation maternelle et primaire de qualité et gratuite à 80 enfants d’origine quechua et métisse de différentes communautés paysannes.

L’éducation interculturelle est une opportunité pour les enfants provenant des cultures autochtones d’acquérir une base solide d’apprentissage de leur propre culture et, en prolongement, d’inclure les apports bénéfiques d’autres cultures. On y apprends la lecture, l’écriture, les sciences, l’usage des nouvelles technologies et les langues, sans avoir à renoncer à sa culture d’origine, et, au contraire, pouvoir utiliser ces nouvelles connaissances comme outils pour fortifier et amener des changement positifs dans leurs familles et communautés.

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VIE QUOTIDIENNE - PERMACULTURE

En plus de cela nous proposons des activités productives avec la participation des élèves eux-mêmes et de leur parents dans les domaines d’Artisanat, d’Alimentation Biologique et Naturelle, de Médecine Traditionnelle et de Musique. Nous avons publié un jeu éducatif basé sur les anciens dessins Incas appelés « Tokapu ». Nous réalisons des pulls imprimés avec des dessins faits par les enfants, des paquets de muesli incluant de la farine de coca et d’autres ingrédients indigènes et des pots de beurre de cacahuète et de chocolat pour le petit-déjeuner, etc…

FINANCEMENT

L’institution se finance grâce au soutien et aux donations désintéressées de personnes ou de groupes de personnes. Jusqu’à aujourd’hui nous n’avons reçu aucun financement stable de la part des institutions, fondations, ONGs, etc…

En 2014, pour un besoin urgent de financements, nous avons créé depuis la structure de Ayahuasca Ayllu le premier festival de Musique Médecine avec l’objectif de récolter des fonds pour l’école. Depuis cette date, cet évènement s’est consolidé comme un évènement bi-annuel pour pouvoir soutenir la continuité de cet école.

Si tu souhaites faire une donation, tu peux visiter le site www.winaypaqperu.org ou nous contacter par mail à winaypaqperu@hotmail.com

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